Revue de presse internet : Tribunal de Perpignan : comment expulser de France un clandestin dont le pays n’existe plus…

Un fois de plus, ce blog va porter à votre connaissance un texte qui circule sur le web. La thématique est «la justice».

Le titre troublant (Tribunal de Perpignan : comment expulser de France un clandestin dont le pays n’existe plus…) est parlant.

Sachez que l’écrivain (présenté sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.

Il n’y a pas de raison de ne pas croire du sérieux de ces infos.

La date d’édition est 2023-10-06 12:08:00.

Voici lle « papier » mentionné :

Voilà un casse-tête administratif qui ne semble pas près d’être résolu et qui empoisonne l’existence de cet homme issu d’un pays qui n’existe plus.

En cette fin septembre, à Agde,  la police effectue un banal contrôle routier. Dans le véhicule un homme fait l’objet d’une fiche de recherche. Il est en situation irrégulière en France. Il va donc être placé en centre de rétention, mais seul celui de Perpignan dispose encore de places disponibles. 
Un juge doit décider de la prolongation de sa rétention avant son expulsion vers son pays d’origine. Et c’est là que les Athéniens s’atteignirent… Le trentenaire est père d’enfants nés en France, pays où il vit dans la clandestinité depuis longtemps, il a fait l’objet de plusieurs obligations de quitter le territoire, mais aucune n’a pu être exécutée. Et pour cause …

Il déclare être né en Italie de parents yougoslaves, en 1992, année où le pays explosa en divers états indépendants. Or, l’Italie ne le reconnaît pas. Peut-être est-il en fait né avant l’exode ?

« De quelle région venaient vos parents ? » l’interroge-t-on. « Mais, je ne sais pas, nous étions tous Yougoslaves ». Logique. 
Des recherches sont effectuées en Croatie et au Kosovo. Sans succès. Comment, dans ce cas, renvoyer chez lui un homme dont le pays n’existe plus ?

La question sera reposée une autre fois, car face au juge, son avocat, Me Poloni constate que, dans le dossier, manque l’arrêté de placement au centre de rétention administrative de Perpignan avec la demande de prolongation de rétention. En l’absence de grief, on ne peut juger.

« L’apatride de Yougoslavie » est donc libéré. Et demeure… de nationalité inconnue.

Bibliographie :

De la justice dans la Révolution et dans l’Église/Neuvième Étude,Le livre .

Justice aux Canadiens-Français !/Adresse,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Vocabulaire anglais-français à l’intention des apprenants avancés/J,Le livre .

La chronique est reproduite de la façon la plus correcte qui soit. Pour émettre des observations sur ce dossier sur le sujet « Librairie juridique » merci de contacter les coordonnées indiquées sur notre site web. Ce paragraphe concernant le thème « Librairie juridique » a été trié sur le net par les spécialistes de la rédaction de jurilivres.com. Le but de jurilivres.com étant de trier en ligne des articles sur le thème de Librairie juridique et les diffuser en s’assurant de répondre au mieux aux interrogations des internautes. Sous peu, nous lancerons d’autres informations pertinentes autour du sujet « Librairie juridique ». Cela dit, visitez de façon régulière notre site.